La grande odalisque : Masse critique et BD

La grande odalisque

La grande Odalisque

La grande Odalisque est une BD que j’ai reçue dans le cadre de l’opération Masse critique , opération menée par Babelio en partenariat avec de nombreux éditeurs.
Cette bande dessinée s’inspire fortement du mythe des cambrioleuses de haut vol féminines développé dans le manga Cat’s Eyes. Les heroines portent d’ailleurs des prénoms relativement proches.

Fruit de la collaboration de trois auteurs (Vivés, Ruppert & Mulot), la grande odalisque est une belle et longue BD de plus de cent pages.

Le thème de l’histoire m’avais attiré dés la lecture du résumé et j’aime bien le concept de cambriolage de « compétition » sans violence extrème comme on peut les trouver dans Arsène Lupin pour parler littérature ou Haute voltige ou la série des Ocean’s pour parler cinéma.

Les graphismes sont assez modernes et épurés, mais toutefois suffisament réalistes pour bien reconnaitre lieux, véhicules etc …

L’appréciation du dessin dans ce type d’ouvrage reste une affaire très personnelle. Dés l’ouverture de ce très bel album j’ai trouvé que ce n’était pas tout à fait mon style préféré. On se rend toutefois compte, au fil de l’histoire et des pages, que cette manière de dessiner colle vraiment très bien à l’histoire et à son rythme.

Le synopsis

La grande odalisque raconte donc l’histoire d’un duo de voleuses (Alex et Carole) modernes et sans complexes, celles ci doivent aller cambrioler le musée du Louvre pour y prendre « La grande Odalisque » tableau de Ingres. S’estimant trop juste en duo, elles cherchent un troisième comparse. Ce sera finalement une comparse en la personne de Sam, pilote de moto.

Je ne dévoilerai pas plus l’histoire pour vous en laisser le plaisir. Si vous voulez avoir un petit aperçu des graphismes, jetez un petit coup d’oeuil à la vidéo ci dessous :

En synthèse

J’ai été déçu par le coté légèrement sex, drugs and rock’n’roll, qui correspond moins ce que j’attendais. On se laisse toutefois bien prendre au fil de l’histoire. Lorsqu’arrive la dernière page, on se surprend à se dire mais ou est la suite !

Le packaging de l’album est vraiment d’excellente qualité également et ainsi celui ci ne déparera pas dans votre bibliothèque. Espérons que la suite ne tardera pas trop.

Asavar

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